Le jouet des étudiants est une prof

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il y a 6 ans

Chris Collins était nerveuse et excitée. La jeune prof âgée de 24 ans menue, et blonde faisait le tour de la petite maison qu’elle avait achetée avec son mari l’année précédente, lorsqu’ils étaient arrivés de Chicago dans cette petite ville du Texas, leur diplômes en poche.

La maison était nette et nettoyée de frais, mais elle ajustait encore certains détails en en faisant le tour. Cette activité cachait sa nervosité dans l’attente de l’arrivée des quatre étudiants de son cours de maths qu’elle devait tutorer. Un tutorial privé. Ce terme allait sûrement prendre un sens spécial aujourd’hui.

Chris repensait aux événements qui étaient survenus les semaines précédentes, son visage afficha un sourire excité.

Elle sentit les babines de sa foufoune s’engorger de s a n g en repensant à ce qui lui était arrivé ce samedi soir. Elle sentait son sexe s’humidifier alors que croissaient les signes de son excitation. Ses souvenirs étaient vifs et détaillés. Elle se tenait dans la petite salle adjacente à sa classe, elle triait les maigres réserves que lui avaient confié le district scolaire, cherchant à trier ce dont elle pouvait se servir en priorité, lorsque sa vie prit un nouveau tour.

Le district scolaire comportait de nombreuses familles rurales pauvres, et nombreux étaient ses élèves n’avaient ni stylos ni cahiers. Le district leur offrait quelques fournitures sur les fonds fédéraux de "l’aide à l’e n f a n c e déshéritée".

Elle était vêtue comme chaque jour qu’elle venait à l’école. Une mini jupe de cuir couvrait ses fesses. Si ce n’était le fait que sa grosse poitrine semblait toujours vouloir jaillir hors de sa brassière, jamais on ne l’aurait taxée de "mal fagotée"

Sa forte poitrine lui avait toujours posé des problèmes. Elle avait toujours attiré l’attention des hommes. Ce genre d’intérêt ne la flattait pas, elle en était gênée, mais elle avait du faire avec en grandissant et avait développé certaines techniques lorsque les choses lui échappaient.

Cependant cela faisait maintenant quelques temps qu’elle n’avait pas jugé bon d’utiliser ces techniques, tout simplement à cause de l’excitation grandissante qui lui apportait maintenant les regards de ces hommes. Certains se comportaient si le mot "salope" était tatoué en lettres de feu sur son front.

Lorsque ces hommes se faisaient agressifs elle n’utilisait plus toujours les répliques qui les figeaient immédiatement. Elle avait besoin de dénombrer ses fournitures pour le premier jour de la semaine aussi s’appliquait-elle à compter les rames de papier, les stylos, etc...

Elle était perdue dans ses pensées si bien qu’elle n’avait pas entendu Roger White pénétrer dans la pièce. Roger était l’image même de la plupart de ses élèves. Ils étaient tous bien bâtis, musclés, mais il ne s’agissait pas de gonflette acquise dans les salles de gym, mais des jours passés à travailler dans les champs et les forets, dès qu’ils avaient l’âge requis pour ces travaux de f o r c e .

La plupart des garçons et même certaines filles travaillaient dans les pineraies du sud du Texas. C’était nécessaire pour augmenter quelque peu les revenus familiaux et permettre à leurs familles de vivre un peu mieux.

Par ailleurs Roger était le meneur d’un petit groupe de gars de toutes ethnies qui ressemblait fort à ces jeunes de gangs citadins, revêtus de capuchons habitant dans les banlieues des grandes villes. Tout comme ces gangs ils employaient l’intimidation pour soumettre à leur gré les élèves les plus faibles de u lycée. Il est vrai cependant que jusqu’ici ils n’avaient jamais commis de meurtres plus grand que de perturber la paix ambiante ou se saouler outre-mesure.

Lorsque Roger avait pénétré dans la pièce, il avait calmement refermé la porte dans son dos. La restriction de la lumière pénétrant dans la pièce attira l’attention de Chris et elle se retourna alors que Roger était déjà sur elle. La salle était entièrement plongée dans le noir à l’exception des légères flaques de lumière passant sous la porte.

Il la repoussa prestement contre le mur. Il posa sa main sur sa bouche et ses yeux se firent menaçants dans la semi-obscurité. Ils rayonnaient comme ceux d’un prédateur.

— Hello, Madame Collins. J’attends ce moment depuis le début du trimestre... Je vais ôter ma main de ta bouche... Si tu cries, je serai obligé de te faire mal ! Je voudrai bien ne pas te faire de mal, mais je le ferai si tu m’y f o r c e s, je préférerai que tu reste calme et que tu fasses ce que je te dis, cela t’éviterait de souffrir !

Lentement son jeune élève de 18 ans, enleva sa main de sa bouche, sagement elle préféra se taire. Elle voulait disputer le jeune homme en tentant de reprendre le contrôle de la situation, mais en fait au lieu de récupérer le contrôle de soi elle subissait l’emprise de son jeune élève. La main qui lui couvrait la bouche entoura son cou. Pas trop fort, pas au point de lui couper le souffle mais suffisamment pour la maintenir contre le mur.

Il empoigna de sa main libre son gros nichons droit qu’il entreprit de peloter rudement au travers de son chemisier. Chris tendit la main pour capturer la sienne et lui enjoignit :

— Roger tu n’as rien faire ici... Et tu n’as aucunement le droit de te comporter ainsi avec moi !

Le ton de son intervention était totalement dénué d’autorité et Roger s’était contenté de réagir en affermissant sa prise sur son cou alors qu’il serrait fermement son sein éveillant une myriade d’étincelles douloureuses dans sa poitrine, lui faisant ressentir sa faiblesse.

— Tu as tort ma chérie, je vais où je veux et je fais ce que j’aime salope !

Son étreinte se resserrait encore sur sa poitrine, après un long moment il relâcha son étreinte.

Qu’elle ressente de la douleur, de la douleur ou du plaisir, son manque de caractère dans cette situation devait rester inconnu, il soulagea son étreinte dès qu’elle cessa de tenter de le repousser.

— Je vois que tu comprends la situation salope ! Dorénavant tu m’appartiens, tu es ma petite chienne... Tu feras ce que je veux et tu me serviras comme une bonne petite esclave, comme ma petite chienne... C’est bien compris ?

Un grand frisson la parcourut... Elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait qu’elle lui appartenait... Elle avait tort, mais sentait qu’elle regretterait vivement tout mouvement de révolte... Elle sentait plus qu’elle comprenait que son emprise s’avérerait sexuelle, cela s’imprima dans son esprit avant qu’elle réponde...

Cela voulait dire qu’elle allait devoir tromper son mari, mais il était tellement mollasson que ce soit dans son comportement social ou sexuel.

Elle réfléchit rapidement : ce garçon avait plus de 18 ans, il n’était donc pas m i n e u r et tout risque d’accusation de détournement disparaissait de ce fait, elle pouvait donc se laisser aller à lui appartenir.

Une des clauses de son contrat d’enseignante pouvait entraîner la perte de son travail, mais le risque était encore pire que cela. Chris ne s’était jamais sentie aussi excitée. Après ces instants fugitifs où ces pensées lui traversèrent l’esprit elle donna sa réponse.

— Oui monsieur

Sa soumission était complète, elle ne pouvait plus que lui complaire désormais. Elle avait oublié toutes les clauses de moralité et de non-fraternisation de son contrat d’enseignante avec le district scolaire, quelque chose venait de s’éveiller en elle et elle devrait s’y conformer désormais.

— Oui maître !

— C’est bien ma petite chienne, tu apprends rapidement... Tu vas bien me servir...

Roger se recula d’un pas en lui donnant ses premières instructions.

— Remonte ta jupe que je puisse admirer tes charmes !

Sans aucune hésitation, elle répondit :

— Oui maître...

Et elle se pencha pour remonter sa jupe. Elle portait un collant couleur chair au-dessus d’une petite culotte de coton blanc qu’on voyait clairement au travers du collant. Elle rougit alors que l’ourlet de sa jupe arrivait sous son menton.

Elle ne comprenait pas pour quelle raison elle rougissait comme une tomate alors qu’elle se réjouissait d’être commandée et que quelqu’un puisse disposer d’elle de cette façon. Ce devait être une réaction instinctive pensait-elle.

Sa chatoune la démangeait et ses nichons durcissaient sous l’oil observateur du jeune homme, et voila que déjà, elle se demandait ce qu’il allait exiger d’elle maintenant, elle espérait inconsciemment que ce serait dégradant. Elle n’eut pas à attendre bien longtemps alors qu’il se rapprochait à nouveau d’elle. Il posa sa main sur la ceinture élastique de son collant et glissa sa main à l’intérieur puis dans sa petite culotte descendant de plus en plus bas.

— Ecarte les cuisses salope, ton maître veut palper ta chagatte.

Chris écarta docilement une de ses cuisses lui livrant u accès plus aisé à sa féminité. Sa respiration se fit plus haletante alors que Roger explorait de ses doigts fins sa fente embrasée la transformant en marécage.

— Je vois que ma petite pute est heureuse de livrer ses charmes à son maître !

Elle ne pouvait répondre que d’une seule façon, de toute manière aucune autre réponse ne lui était venue à l’esprit :

— Oh oui maître... Tu ne porteras plus jamais de collant chienne... Tu vas acheter une ceinture porte-jarretelles et des bas, ainsi que des petites culottes affriolantes et laisser tomber ces horribles cache-sexe en coton que tu portes... Tu dois toujours être prête à te faire baiser selon mes désirs...

— Comme vous voudrez maître...

Roger extirpa sa main de sa petite culotte et porta son doigt à ses lèvres. Chris respira à plein poumon le parfum musqué de sa chatoune tandis qu’il lui intimait de le lécher.

— Goûte à ton jus intime qui enduit mon doigt salope !

Docilement et sans une seule protestation elle prit le doigt entre ses lèvres et le débarrassa minutieusement de son jus intime, juste comme si elle léchait une toute petite bite ! Il posa ses mains sur ses épaules et la f o r ç a à s’agenouiller. Chris savait pertinemment ce qu’il attendait d’elle, elle étala sa jupe en corolle en s’agenouillant sans protester. La bosse déformant l’entrecuisse de Roger était au niveau de son visage.

— Suce moi salope !

Elle le regarda dans les yeux tout en tendant la main vers sa braguette et murmura :

— Oui maître.

Elle déboutonna son jean et le descendit sur ses chevilles, son caleçon suivit rapidement, elle reprit alors q sa bite en semi-érection en main et entreprit de la branler tendrement avant de l’enfourner dans sa petite bouche.

La forte odeur de sueur et de pisse lui frappa les narines, ce n’était sûrement pas faute d’hygiène, mais plus vraisemblablement du à l’heure avancée. Elle frémit bien plus en constatant la taille de sa pine.

Bien que son expérience à cet égard fut des plus réduites, elle savait que la bite de son mari était en dessous de la norme, elle ne mesurait que 9 cm... Celle de son maître avoisinait les 15 centimètres à ce qu’elle put constater.

Pleine d’un inconscient désir de combler son maître elle eut quelques difficultés à l’accueillir dans sa gorge, c’était la première fois qu’elle tentait de prodiguer une "gorge profonde" à autrui.

Elle le suçait tendrement alors qu’il l’accablait de commentaires aussi salaces que sacarstique.

— Suce-moi bien fieffée salope ! Tu n’es rien d’autre qu’une chienne en chaleur ! Tu dois me sucer de ton mieux ainsi que les copains que je te désignerai ! T’es qu’une vraie salope qui meurt d’envie de te faire traiter comme une pute, b’est ce pas chienne ?

Sa réponse était spontanée, elle n’aurait pas été autre si elle avait pris le temps de la réflexion :

— Oui maître, je suis une vraie salope qui meurt d’envie d’être traitée comme une pute !

Roger lui agrippa les oreilles et se mit à remuer rageusement les hanches d’avant en arrière, il la baisait en bouche plus qu’elle ne le suçait. Il révélait sa férocité en se servant ainsi d’elle, utilisant sa bouche comme une chatte. Elle gémit sous les coups de boutoir alors que son excitation montait.

C’était extrêmement dégradant, humiliant de se faire baiser ainsi pensait-elle en son fort intérieur. Elle ne comprenait pas ces sentiments, mais ils étaient bien réels et elle adorait être ainsi a b u s é e . Lorsqu’il éjacula dans sa bouche, elle sentit un intense orgasme ravager sa chatoune inondée de cyprine.

Elle se mit à avaler sa semence, c’était quelque chose qu’elle avait toujours refusé à son époux ! Elle ne perdit pas une goutte de son sperme chaud, allant jusqu’à ramasser d’un doigt habile les filaments qui suintaient aux commissures de sa bouche pour les lécher avidement. Il se rajusta et la laissa pantelante dans la petite pièce.

— Sois disponible tous les jours ! Je reviendrai te prendre !

— Bien maître...

Le soir même Chris arrêta dans la petite épicerie proche de son domicile et acheta les bas et les petites culottes qu’il lui avait enjoint de porter dorénavant. Le lendemain elle arborait fièrement sous sa jupe une paire de bas auto-fixant et une affriolante petite culotte.

Roger installa une chaise dans la petite salle servant d’entrepôt et la courba dessus, il releva sa jupe, descendit sa petite culotte et la baisa en chatoune.

Elle n’avait jamais été baisée par une bite aussi grosse, il lui semblait quasiment se faire dépuceler nouveau. Bien que la perte de son pucelage avait été assez douloureuse alors que cette fois cela lui semblait délicieux.

Un orgasme massif la terrassa alors qu’il coulissait sans vergogne dans sa petite chatoune asservie, son emprise grandissait considérablement à chaque coup de boutoir. Elle était maintenant et à jamais sa pute et lui obéirait en tout. Du moins était-ce ce qu’elle pensait à cet instant.

Alors qu’il vomissait son foutre dans sa chatte asservie, elle pensa fugitivement au risque de se faire engrosser, mais s’il fallait en passer par-là pour ressentir un tel plaisir, il en serait ainsi ! Comme s’il lisait dans son esprit il commenta alors :

— Si je t’engrosse ma chienne... Si tu as un e n f a n t ... Celui-ci m’appartiendra tout comme tu m’appartiens !

Chris nota mentalement de reprendre la pilule, cependant elle lui répondit :

— Bien maître...

Il se soulagea en elle et abusa de ses charmes chaque jour à partir de cet instant. Il la baisait en bouche, en con, en cul... Elle se montrait de plus en plus complaisante au fil des jours, sa soumission se faisait plus nette à chaque fois qu’il la sautait. Elle avait arrêté de porter des petites culottes selon ses consignes e s’était rasée la foufoune? La bise soufflant sur son mont chauve lui semblait d’un érotisme extrême.

Elle avait rechigné les premières fois qu’il lui avait enjoint de nettoyer sa bite de la langue alors qu’il venait de l’enculer, comme après lorsqu’il venait de la fourrer en chatte. Mais cette révulsion initiale passa rapidement tant était grand son désir de lui complaire, bien que le goût m e r d e ux lui déplut profondément.

Toutes ces pensées lui traversaient l’esprit alors qu’elle attendait son maître et ses amis pour les "tutorer". Elle savait déjà que le seul sujet abordé ce soir serait la sexualité humaine ainsi que la dépravation de leur esclave, il ne serait aucunement question de maths ! Elle frissonna en pensant qu’il travaillerait sûrement les additions. Elle devait calculer le nombre de mentules qui l’utiliseraient et le nombre d’orgasmes qui la terrasseraient entre les bras des copains de son maître. Les additions faisaient partie du programme de math après tout ! Elle frémit à cette pensée lubrique.

Sa tenue était à la frontière de ce qui pouvait être accepté par les autorités académiques. Son short bouffant était très court sa brassière ne faisait que couvrir ses nichons. Si elle levait les bras au niveau de son visage, ses nibards s’évadaient sous la brassière. Elle ne portait ni soutien-gorge ni petite culotte et avait les pieds nus.

Plus tôt dans la matinée, son époux, Jack Collins, avait essayé de lui demander des explications en la voyant ainsi accoutrée, elle l’avait rabroué v i o l emment.

— Occupe-toi de ton cul... Je dois recevoir des élèves qui viennent travailler à la maison...

— Tu vas donner une leçon ainsi attifée ?

— Oui, fous le camp dans ta tanière et restes-y tant qu’ils seront ici !

Il savait parfaitement qu’il était inutile de discuter avec elle, il était encore plus soumis qu’elle. Sa fierté masculine ne lui avait cependant jamais permis de le reconnaître, mais il le savait en son fort intérieur. Lorsqu’elle se montrait autoritaire avec lui, il se réjouissait de se sentir dominé.

Alors qu’initialement cela les avait rapprochés c’était maintenant un mur qui s’élevait parfois entre eux. Elle avait besoin de se sentir dominée et son époux s’avérait un mollasson incapable de la mater ! Il avait installé une glacière dans sa tanière, ainsi il n’avait pas à la quitter pour boire une bière bien fraîche. La pièce était prête et Chris n’attendait plus que la venue de son maître et de ses acolytes.

Ils pénétrèrent dans la maison, comme des conspirateurs par la porte de derrière, on aurait dit quatre envahisseurs de l’au-delà. Il y avait Roger bien sur, flanqué d’Eric, Todd et Jamal. Ils avaient tous quatre plus de dix huit ans, Jamal l’aîné en avait 19. Il avait pris du retard dans sa scolarité le temps que ses enseignants se rendent compte qu’il était dyslexique.

Eric était mexicain, c’était indéniable. Il était petit, ce qui caractéristique de son ethnie, ce qui lui donnait un complexe de "petit Napoléon" et une nature susceptible et impatiente. Il s’habillait dans le style "cholo" : cheveux courts retenus dans un filet qui permettait de conserver une coupe impeccable et créative de différentes couleurs. Il portait un short large kaki et un tee-shirt sans manche, ses muscles roulant sous sa peau tannée.

Jamal était un afro-américain de couleur noire très sombre, sa taille avoisinait celle des piliers de la NFL.

Todd semblait bienveillant, à l’exception de son ami mexicain il était le plus petit du groupe, et était loin d’être aussi musclé que ses copains.

Il était efflanqué en fait bien qu’il soit aussi fort qu’un bouf qui passait dans les prairies du texas. Il n’aurait pas fait partie de la bande s’il n’était le cousin de Roger, il semblait vraiment un gringalet au regard des autres. Son apparence bienveillante et innocente était cependant un certain avantage lorsque le gang voulait se procurer de la bière en se servant d’une carte volée dans un des magasins locaux.

Cette particularité lui avait conféré une bonne insertion dans le groupe. Chris ouvrit la porte de derrière et invita ses copains à entrer dans la cuisine. Ils inspectèrent ses charmes du regard alors qu’ils avançaient vers elle. Chris rougit comme une tomate en voyant leur visage afficher leur concupiscence.

Alors qu’elle rougissait extrêmement gênée, sa chatoune secrétait un flot de cyprine qui lui engorgeait la fentine. Elle aurait souhaité être autorisée à porter une petite culotte, mais sans, elle sentait son jus intime détremper le fond de son short. Roger se dirigea vers le centre de la petite cuisine et se tourna pour lui faire face, ses trois copains s’alignant dans son dos.

Lorsque Chris se retourna une fois la porte de la cuisine fermée elle attendait son bon vouloir, Roger lui intima alors :

— Viens ici ma salope ! En pointant du doigt l’espace devant lui.

Chris rougit à nouveau et obtempéra.

Il l’appelait toujours "salope" et elle aimait ce label, et ce que cela sous-entendait, c’était un des liens qui les unissait si fortement. L’humiliation de se faire traiter de salope en face de ses copains embarrassait la jeune prof, mais cette humiliation faisait partie de la félicité qui s’en suivrait. Le rappel de sa soumission signifié par ce label infamant l’obligeait à endosser son rôle de soumise, elle lui répondit d’ailleurs de la façon appropriée :

— Oui maître...

— Je suis content de ta tenue... La félicita-t-il appréciant sa tenue qui mettait en valeur ses charmes de façon obscène.

— Merci maître... Murmura-t-elle ravie de lui complaire.

— Je pensais que vous aimeriez me voir vêtue comme la pute que je suis, prête à servir, plutôt qu’habillée de la classique tenue de prof que je porte chaque jour... Elle lui souriait béatement en terminant son commentaire.

— Se focalisant sur les trois comparses de Roger elle vit la concupiscence luire dans leurs yeux, et les bosses qui déformaient le devant de leurs pantalons.

— Lève les bras ! Lui intima-t-il brusquement.

Elle remonta ses bras à hauteur d’épaule comme ordonné. Sa petite brassière suivit le mouvement dévoilant les globes de ses gros nichons. Si ses tétons n’avaient pas été aussi turgides, ils n’auraient pas empêché sa brassière de remonter plus haut dévoilant la totalité de ses lourdes miches. Roger avança d’un pas se rapprochant d’elle.

— Je suis content de toi ! La félicita-t-il tout en caressant sa joue. Sa main plongea ensuite le long de son cou jusqu’à son décolleté dans la quelle elle se glissa.

Il empoigna alors le haut de sa brassière et déchira la petite pièce de vêtement la lui arrachant du buste.

— Ohhhhhhhhhh ! S’exclama Chris à ce geste inattendu. Son cri ne révélait nulle peur mais seulement le plaisir escompté.

Elle rougit comme une tomate alors que son buste était entièrement dévoilé à tous.

Ses tétons dardés au centre de ses larges aréoles sombres. Ses lourdes mamelles, dressées à 45 °, pointaient comme des obus.

Son buste se soulevait rythmiquement au rythme de ses émois, bien que momentanément embarrassée de sa semi-nudité elle plongeait lentement mais sûrement dans un océan de plaisir qui ne tarderait pas la submerger sous l’entière dépendance de son jeune maître.

Visiblement Roger pensait qu’elle ne dévoilait pas suffisamment ses charmes. Il tendit la main sur la série de lacets fermant le mini short. Il tira sur le laçage qu’elle avait crée pour le refermer et le tenir en place.

Comme il n’était plus maintenu par le laçage, le short de Chris tomba sur ses chevilles dévoilant sa foufoune rasée de frais. Elle exhiba sa chagatte sous leurs yeux ravis lorsqu’elle enjamba son short le repoussant du pied vers la brassière que lui avait déjà ôté Roger.

Sa gêne dura peu bien qu’elle fut nue comme au jour de sa naissance sous les yeux concupiscents de ses élèves.

Sa chatte chauve et ses seins légèrement pendants captaient leur attention, elle se considérait maintenant comme une vraie salope en attendant de devenir leur pute dévouée. Levant les yeux vers Roger, pour la première fois depuis qu’il l’avait entièrement dénudée, elle lui demanda humblement :

— Mon maître est-il satisfait ?

Sa réponse la remplit de fierté, c’était exactement ce qu’elle attendait.

— Oui ma petite chienne, et maintenant occupe-toi de moi !

Sans aucune hésitation elle se laissa tomber à genoux, et sortit la bite de Roger de son caleçon. Elle le prit avidement en bouche et entreprit une gorge profonde qui ne tarda pas à déployer son sceptre dans toute sa vigueur.

Elle lui caressait habilement les couilles maintenant qu’elle avait pris l’habitude de le recevoir en bouche et en gorge.

Elle allait maintenant devoir démontrer son expertise en suçant ses comparses.

Jamal fut le premier à commenter :

— Regardez-moi cette salope de suceuse de bites... Elle se débrouille mieux que toutes les putes que je connais !

Il frottait la grosse bosse déformant le devant de son pantalon tout en parlant, visiblement follement excité par la vue de sa prof de maths taillant une pipe à son copain.

Ils se branlaient tous trois machinalement en regardant le spectacle haut en couleur qu’elle leur offrait.

D’un signe Roger invita ses copains à participer à l’hallali.

Jamal s’accroupit aux coté de la jeune prof blonde qui suçait voluptueusement son ami, il empoigna son nichon le plus proche.

Todd se posta de l’autre coté et se pencha pour capturer son autre nichon entre ses lèvres. Eric se plaça dans son dos.

— Je vais lui bouffer le gazon... Annonça-t-il en s’asseyant entre ses jambes disjointes, et enfouissant son visage dans sa raie du cul cambrée en arrière il entreprit de la lécher du clito au trou du cul se régalant d’une bonne dose de cyprine à chaque coup de langue dans sa chagatte inondée de son jus intime.

Alors que Jamal lui malmenait diaboliquement u nibard, que Todd lui suçotait tendrement le second et Eric lui bouffant la chatoune avec expertise, elle redoubla d’effort en taillant sa pipe à Roger.

Elle allait et venait bruyamment sur sa hampe alors qu’il coulissait sans vergogne dans sa bouche et sa gorge.

Lorsque Jamal lui mordit le téton du sein qu’il malaxait rudement la douleur diffusa dans toute sa poitrine alors qu’un orgasme m i n e u r la secouait électrisant sa chatte qui s’avérait une excellente réceptrice. Elle gémit sous les vagues de plaisir qui couraient de ses miches à sa cramouille.

Ses efforts de cajoleries sur la bite de Roger furent bientôt récompensés, il gicla en épais geysers lui emplissant la bouche quelques secondes plus tard. Il poussait des beuglements bestiaux en frottant ses couilles contre son menton.

— Oh oui avale tout ma salope ! Grogna-t-il ravi.

Lorsqu’il extirpa sa grosse bite de sa bouche frémissante et se recula pour s’asseoir sur une des chaises de la cuisine, Jamal changea de place. Sortant sa bite de son caleçon il se posta face à elle et intervint :

— A mon tour de profiter de ta bouche petite pute... Suce moi !

Sa bite était longue et épaisse : facilement 30 centimètres de long, et de la largeur du poignet d’un homme de taille moyenne. Et encore n’était-elle pas en pleine érection !

Elle regarda son maître assis à quelques centimètres d’elle quêtant son approbation, il hocha la tête en signe d’agrément.

Sans aucune hésitation, Chris prit la grosse bite de Jamal en main et entreprit de le branler lascivement, puis elle tendit la langue et lécha avec minutie son gros bourgeon noir avant d’ouvrir la bouche en grand pour l’emboucher servilement.

Après plusieurs tentatives elle parvint à l’enfourner jusqu’aux burnes dans sa bouche accueillante et Jamal se mit à gémir. Mais il voulait plus que sa bouche.

Se reculant de quelques centimètres il s’assit sur une chaise de cuisine. D’un geste autoritaire il lui fit signe d’approcher, elle rampa docilement jusque lui, elle pensa qu’il voulait se faire sucer assis aussi tendit-elle la main pour empoigner à nouveau sa bite. Mais l’idée de Jamal était toute autre.

Il se pencha sur elle et l’agrippant aux aisselles il la f o r ç a à se relever, puis il la retourna de façon à ce qu’elle lui montre le dos, il l’attira à lui écarta ses cuisses.

Ses jambes enfourchaient les siennes, ouvrant sa chagatte en grand la livrant entièrement à l’intrusion d’une énorme mentule puis il l’emmancha lentement sur son épais chibre tendu.

Lorsque son gland aussi gros qu’une mandarine entra en contact avec sa chatoune écartant les lèvres soyeuses de sa fentine pour admettre le chibre luisant de son suborneur.

Il commença par presser son épais brugnon à l’entrée de son étroite caverne, Chris se contenta de retenir son souffle alors que son épaisse prune disparaissait dans sa foufoune liquoreuse.

Lorsque Jamal décontracta les muscles de ses bras elle glissa sur sa bite s’empalant sur 25 bons centimètres de son épaisse colonne avant que ses pieds touchent le sol arrêtant sa descente, elle haleta à cette brusque invasion distendant son goulot resserré.

Jamais auparavant la jeune prof n’avait été aussi distendue par une bite. Roger avait une grosse mentule, mais elle apparaissait moyenne en comparaison de celle de ce colosse noir qui l’emmanchait sans vergogne.

Lorsque Jamal se redressa claquant sa croupe contre son pubis, il engouffra ses 10 derniers centimètres de bite dans sa caverne, cette brutale intrusion chassa l’air de ses poumons, comme si sa grosse bite venait de les comprimer, ou comme si elle venait de prendre un coup de poing dans le plexus solaire.

Chris avait l’impression qu’on lui avait fourré un manche de masse dans la foufoune, ses muqueuses s’adaptaient lentement à leur énorme envahisseur, les parois de son utérus gainaient son épais chibre.

Elle était pleine de confusion, distendue à l’extrême comme un sac d’une contenance de 3 kgs bourré de 6 kgs de marchandise, elle était momentanément incapable de respirer correctement.

Mais bien vite son plaisir surmonta tous ces petits inconvénients. Ses pieds reposaient à plat sur le sol, elle avait les genoux à demi fléchi.

Elle tirait avantage de cette posture et se mit à monter et descendre lascivement sur sa colonne de chair tendue. Son corps dirigeait ses actes, son esprit se polarisait sur la douleur de cette bite qui la labourait impitoyablement. Si son esprit avait contrôlé ses actes elle aurait attendu patiemment que son corps s’accommode de cet énorme envahisseur qui mettait à mal l’élasticité de sa foufoune.

Mais au lieu de ça, son corps lui induisait de s’empaler à fond sur cet énorme épieu noir qui lui dévastait la foufoune.

Alors qu’elle le chevauchait péniblement, ses petites lèvres semblaient aspirer dans son con comme si elles s’accrochaient à cet invraisemblable braquemart.

Lorsqu’il ressortait, elles étaient tirées à l’extérieur attenant qu’il la défonce à nouveau.

Un nouvel orgasme grandit en elle, elle commença à babiller son plaisir.

— Oh mon Dieu fourre-moi ! Je ne suis qu’une chienne en chaleur, sers-toi de moi comme d’une pute !

C’était l’intention de Jamal de la baiser à couilles rabattues, mais as parce qu’elle le lui demandait. Il empoigna sa taille menue pour l’empaler à nouveau sur sa bite, haussant encore l’intensité de son rythme de baise.

A cet instant même ses pieds décollèrent du sol alors que Jamal la soulevait dans ses bras avant de la replanter avec f o r c e sur sa bite érigée. Ses couilles se calaient contre son scrotum et sa décharge se faisait imminente.

Son seul désir était de décharger dans la foufoune de son adorable petite prof, avant qu’un quelconque problème vienne l’en empêcher. A cet instant il atteignait le point de non retour.

Eric an avait assez de regarder ce spectacle si excitant sans y participer, il s’approcha de Chris.

Ses yeux étaient fermés aussi n’est ce que lorsqu’il promena sa grosse bite sur ses lèvres entrouvertes qu’elle réalisa qu’il se tenait face à elle flamberge au vent. Elle ouvrit alors les yeux et la bouche et l’enfourna pour lui tailler une somptueuse pipe.

Il était difficile de sucer correctement Eric alors qu’elle chevauchait Jamal. Elle tendit la main et empoigna la bite d’Eric à sa base pour faciliter son oeuvre et lui permettre de lui administrer une merveilleuse fellation.

Elle parvint à planter à nouveau ses pieds sur le sol. Jamal cessa soudain de la claquer de bas en haut sur son énorme pieu lorsque Chris manifesta l’intention de prendre les choses en main pour lui faire d’elle-même l’amour.

Elle parvenait maintenant à se concentrer et à oeuvrer plus aisément sur la bite qu’elle suçait.

Eric ne s’en plaignait pas, elle lui taillait une merveilleuse pipe. Sa queue était plus petite que celles qu’elle suçait d’ordinaire, elle mesurait seulement 17 à 18 centimètres, mais elle bien plus large que les bites habituelles des males de type caucasien.

Elle avait sucé peu de byroutes non-circoncises et c’était un plaisir nouveau de sentir son prépuce suivre les mouvements de ses lèvres.

Comme la bite de Jamal lui labourait vigoureusement la fentine coulissant avec aisance dans sa caverne engorgée de cyprine, elle aspirait sa bite au fin fond de son utérus avec zélé et exubérance.

Eric savait qu’il ne tiendrait plus très longtemps et bientôt il extirpa sa bite frémissante de sa bouche et lui aspergea le visage et les nichons de son foutre crémeux, grognant et gémissant tout au long de son éjaculation.

Jamal explosa presque immédiatement après lui. Il se vida carrément les couilles se vidèrent dans sa cramouille tandis qu’elle hurlait son plaisir.

— Oh mon Dieu... Quelle salope je fais ! Me faire baiser me donne tant de plaisir ! Baise-moi... Baiiiiiiiiiiiiiiseeeeeee moooiiiiii...

Jamal extirpa sa bite de sa foufoune frémissante, et immédiatement elle se retourna pour la prendre en bouche et la nettoyer. Elle avait consigne de nettoyer les bites qui sortaient de ses orifices, elle savourait maintenant pleinement le goût de la semence de males mélangé à son propre jus qui couvrait sa mentule luisante.

Roger s’était éloigné de quelques pas juste afin que Jamal puisse se faire nettoyer la bite par une langue consciencieuse.

Dans le salon Jack sirotait une bière qu’il venait de prendre dans un pack de 12, il s’assit devant la télé qui marchait, mais il n’y prêtait aucune attention.

Attiré par les gémissements de plaisir, il s’approcha du passe-plats qui séparait la cuisine du salon. Il avait entendu des grognements sourds provenant de la cuisine mais rien de vraiment intelligible. Mais les derniers gémissements et grognements qu’il avait entendus évoquaient sans aucun doute des activités sexuelles. Il fit tourner le bar dans une position entrouverte, juste assez pour voir clairement ce qui se passait dans la cuisine.

Roger avait détecté ce mouvement suspect dans la cuisine, il regardait justement le panneau tourner légèrement s’entrouvrant assez pour lui permettre de voir un visage de l’autre coté du bar.

Jack jeta un oeil attentif dans la cuisine et vit tout de suite son adorable petite femme entièrement nue, à genoux, suçant la plus grosse mentule qu’il ait jamais vu. Elle regardait amoureusement la monstruosité qu’elle avait en main. Une grosse flaque de foutre s’étalait sur ses nibards et ses cheveux ébouriffés.

Un autre athlétique jeune était assis de l’autre coté de la pièce, sa bite reprenant visiblement de la vigueur, un troisième se tenait à coté du couple comme s’il attendait son tour. A cette vue salace, la bite de Jack se raidit instantanément dans son caleçon.

Tous ces gaillards semblaient particulièrement forts, prudemment Jack décoda de ne pas entrer dans la cuisine, il referma simplement le vantail et retourna à son fauteuil pour s’ouvrir une nouvelle bière. Dans la cuisine Chris finissait de nettoyer la bite de Jamal et lécher les dernières traces de leurs jus mêlés sur ses lèvres pulpeuses.

En se retournant, elle vit que Todd était prêt elle le prit à son tour en main.

— Viens mon chéri allons nous installer plus confortablement !

Ils quittèrent la cuisine pour gagner le chambres, elle voulait se rendre dans une chambre d’amis, mais décida en dernier ressort que le grand lit de la chambre conjugale serait plus confortable. C’était le lit acheté lors de leur mariage, ce mariage qui n’était plus qu’une farce.

En atteignant le lit qu’elle partageait avec son mollasson de mari, Chris descendit le couvre lit et se lança sur le lit.

Elle fit signe à Todd et il s’installa sur son torse prêt à la pénétrer. Chris mourrait d’envie d’être possédée à nouveau, tenant la main entre ses cuisses elle empoigna la petite queue de Todd et la guida dans sa cramouille affamée.

Bien que sa bite fut moins grosse et moins grande que celle de ses deux comparses, elle s’avérait plus grosse que celle de son mari.

Il commença à la labourer énergiquement dès qu’elle l’eut introduit en elle. Elle lança ses jambes de chaque coté du torse de ce jeune gaillard qui la sautait si vigoureusement sur un rythme soutenu.

Sa bite était plus petite que celle de ses deux amis et encore plus de celle de l’énorme bite de Jamal qui avait ravagé sa moule avant de décharger un flot de foutre dans ses profondeurs, celle de Todd coulissait avec aisance dans sa grotte élargie et copieusement lubrifiée de leur jus mêlés.

Todd semblait fort goûter leur accouplement.

Même s’il n’était pas vierge, il n’avait baisé qu’une ou deux filles avant elle. C’est pourquoi il était si impatient de foutre sa petite prof et il projeta rapidement de lourdes giclées de foutre au fin fond de son utérus. Comme Todd désenfourchait la petite prof devenue une rude salope, Roger, son érection revenue, lui grimpa dessus.

Il la pénétra vivement et sans aucun préliminaires il se mit à utiliser avidement son corps. Chris était au ciel, alors qu’ils se succédaient sur son ventre dans sa chatoune et sa bouche les heures qui suivirent profitant de leur endurance juvénile.

Ils avaient jailli dans ses profondeurs à 11 reprises lorsque l’heure se termina.

Et ils n’en avaient pas fini avec elle, ils escomptaient la sauter chacun à son tour jusqu’à épuisement de leurs réserves de foutre, tous appétits satisfait.

Orexis

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